Résumé :
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Ici la prose est poésie. Et tout - les hommes, les animaux, l'ouragan, la lumière - tout participe d'une même cosmogonie, celle de l'enfant que fut jadis Arnaldo Calveyra dans la campagne argentine. Tels les détails d'un tableau pointilliste, les souvenirs, les sensations, les peurs, les frémissements, les angoisses émergent de la nuit de la mémoire pour composer un univers où la réalité s'ancre au rêve. D'un lyrisme subtil, ces contes sont aussi d'un virtuose de la langue, que sert avec bonheur une traduction lumineuse.
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