Christophe Guilluy émet le constat que les classes dominantes profitent honteusement des effets de la mondialisation au nez et à la barbe des classes populaires. Le géographe va plus loin, en dénonçant l’hypocrisie des grands dirigeants qui arrivent à se poser en victime du modèle inégalitaire dont ils sont eux-mêmes les instigateurs. Le Crépuscule de la France d’en haut tire le portrait d’une France qui se paupérise sous la volonté d’une minorité. Voilà un essai qui ne manque pas d’arguments, pour attiser notre curiosité sur le sujet complexe de la répartition de la richesse.
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