Résumé :
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? Le onzi?me jour apr?s ma mort, Papa est all? porter ma couette ? la teinturerie. Monter la rue du Cou?dic, les bras charg?s de ma literie, le nez dedans. Il se dit qu il renifle mon odeur. En fait, ?a pue, je ne les avais jamais fait laver ces draps ni cette couette. a ne le choque plus. Au contraire : subsiste encore quelque chose de moi dans les replis blancs qu il porte ? la teinturerie comme on porterait le saint sacrement. Papa pleure le nez dans le coton. Il profite. Il sniffe encore u
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